Ce qu'il se passe.
C’est une semaine de marathon diplomatique international.
Rembobine Ersin, avec l'enterrement de la Queen ?
Oui, avec 2 000 invités dont 500 dirigeants, et de very nombreux téléspectateurs, le monde a rendu hommage à la reine Elizabeth II hier. Beaucoup de dirigeants enchaînent aujourd’hui avec l’Assemblée générale des Nations unies à New York. Ce raout rassemble chaque année ses 192 États membres pour discuter et donner des avis sur l’état du monde.
Qui vient cette année ?
C’est l’un des sujets. Parmi les absents, on compte Vladimir Poutine, le président russe, et le Chinois Xi Jinping. Ces 2 membres permanents du Conseil de sécurité - dont la responsabilité est le maintien de la paix dans le monde - sur 5 affichent donc qu’ils ont mieux à faire.
Et le contexte, c'est ?
La division du monde en 3 camps avec la guerre en Ukraine. 1/ Les Occidentaux opposés à l’invasion russe. Un groupe leadé par les États-Unis qui ont en commun d’être des démocraties. 2/ Un autre camp mené par la Russie, accusée de violer le droit international en envahissant l’Ukraine, et soutenu discrètement par la Chine.
Et le troisième ?
Un groupe de pays qui ne veut pas choisir : on y trouve l’Inde, l’Afrique du Sud, et des pays de tous les continents. S’ils restent neutres, ils flippent des conséquences de la guerre en Ukraine, notamment les pénuries de gaz ou de céréales.
Et quel est l'objectif ?
Pour les Occidentaux : rallier les neutres pour faire pression sur la Russie. Pour le camp Russie x Chine, contester la domination occidentale sur le monde et imposer leur vision du monde.
Y a d'autres dossiers ?
Le nucléaire iranien. En Occident, on s’inquiète de l’Iran qui cherche à posséder l’arme nucléaire. En 2015, l’accord de Vienne établit que l’Iran doit limiter son programme nucléaire en échange de la fin des sanctions internationales qu'il subit. Mais en 2018, l’ex-président US Donald Trump dénonce ces accords. Depuis, les négociations pédalent dans la choucroute et l’Iran s’approcherait de l’arme atomique. Enfin, les membres de l’ONU parleront réchauffement climatique et crise économique post-pandémie.
Ce qu'il se passe.
C’est une semaine de marathon diplomatique international.
Rembobine Ersin, avec l'enterrement de la Queen ?
Oui, avec 2 000 invités dont 500 dirigeants, et de very nombreux téléspectateurs, le monde a rendu hommage à la reine Elizabeth II hier. Beaucoup de dirigeants enchaînent aujourd’hui avec l’Assemblée générale des Nations unies à New York. Ce raout rassemble chaque année ses 192 États membres pour discuter et donner des avis sur l’état du monde.
Qui vient cette année ?
C’est l’un des sujets. Parmi les absents, on compte Vladimir Poutine, le président russe, et le Chinois Xi Jinping. Ces 2 membres permanents du Conseil de sécurité - dont la responsabilité est le maintien de la paix dans le monde - sur 5 affichent donc qu’ils ont mieux à faire.
Et le contexte, c'est ?
La division du monde en 3 camps avec la guerre en Ukraine. 1/ Les Occidentaux opposés à l’invasion russe. Un groupe leadé par les États-Unis qui ont en commun d’être des démocraties. 2/ Un autre camp mené par la Russie, accusée de violer le droit international en envahissant l’Ukraine, et soutenu discrètement par la Chine.
Et le troisième ?
Un groupe de pays qui ne veut pas choisir : on y trouve l’Inde, l’Afrique du Sud, et des pays de tous les continents. S’ils restent neutres, ils flippent des conséquences de la guerre en Ukraine, notamment les pénuries de gaz ou de céréales.
Et quel est l'objectif ?
Pour les Occidentaux : rallier les neutres pour faire pression sur la Russie. Pour le camp Russie x Chine, contester la domination occidentale sur le monde et imposer leur vision du monde.
Y a d'autres dossiers ?
Le nucléaire iranien. En Occident, on s’inquiète de l’Iran qui cherche à posséder l’arme nucléaire. En 2015, l’accord de Vienne établit que l’Iran doit limiter son programme nucléaire en échange de la fin des sanctions internationales qu'il subit. Mais en 2018, l’ex-président US Donald Trump dénonce ces accords. Depuis, les négociations pédalent dans la choucroute et l’Iran s’approcherait de l’arme atomique. Enfin, les membres de l’ONU parleront réchauffement climatique et crise économique post-pandémie.