LET'S TALK

Des dizaines pays du monde réfléchissent à comment aider les pays les plus pauvres

International
Par
L'équipe Voxe
Le
22/6/23

Ce qu'il se passe.
Des dizaines pays du monde ont THE talk.

Bon chance, Armance.
Hahaha, oui. Aujourd’hui et demain, 50 chefs d'États, membres d'organisations internationales et ONG réfléchissent à alléger la dette des pays les plus pauvres tout en les aidant à se développer et en préservant la planète. Pour ça, l’idée de ce sommet organisé à Paris par le président Macron et la Première ministre de la Barbade Mia Mottley est notamment de penser un nouveau système financier international.

Atta, c'est quoi le problème ?
Les pays les plus pauvres devront dépenser entre 2 000 milliards $ et 4 000 milliards $ par an d’ici 2030 pour lutter contre le changement climatique. Or, ils manquent de pépettes pour 3 raisons : 1/ les institutions financières comme le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, nées post-Seconde Guerre mondiale, ne seraient plus adaptées aux défis d’aujourd’hui, 2/ la dette est un gros sujet pour pas mal d’États, 3/ les pays riches ne verseraient que partiellement les 100 milliards $/an d’aides promis dès 2020 aux pays les plus pauvres pour le climat.

Dac. On propose quoi ?
La France propose de taxer le transport maritime mondial. Plusieurs chefs d’États et de gouvs veulent, eux, alléger la dette de certains pays. La Barbade propose de suspendre les remboursements de prêts d'un pays pendant 2 ans s’il est victime d’une catastrophe climatique.

Ça changerait vraiment quelque chose ?
Yep, car 93 % des pays les plus vulnérables aux catastrophes climatiques sont surendettés ou risquent de l’être. Or, cette dette les empêchent de financer leur transition écologique en les privant de moyens clés.

Et pour la suite ?
Le sommet doit permettre d’établir une feuille de route pour orienter les discussions notamment lors de la COP 28, la conf de l’ONU sur le climat à Dubaï début décembre. Certains s’inquiètent du manque d’actions concrètes, d’autres estiment que ça crée une dynamique.

Ce qu'il se passe.
Des dizaines pays du monde ont THE talk.

Bon chance, Armance.
Hahaha, oui. Aujourd’hui et demain, 50 chefs d'États, membres d'organisations internationales et ONG réfléchissent à alléger la dette des pays les plus pauvres tout en les aidant à se développer et en préservant la planète. Pour ça, l’idée de ce sommet organisé à Paris par le président Macron et la Première ministre de la Barbade Mia Mottley est notamment de penser un nouveau système financier international.

Atta, c'est quoi le problème ?
Les pays les plus pauvres devront dépenser entre 2 000 milliards $ et 4 000 milliards $ par an d’ici 2030 pour lutter contre le changement climatique. Or, ils manquent de pépettes pour 3 raisons : 1/ les institutions financières comme le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, nées post-Seconde Guerre mondiale, ne seraient plus adaptées aux défis d’aujourd’hui, 2/ la dette est un gros sujet pour pas mal d’États, 3/ les pays riches ne verseraient que partiellement les 100 milliards $/an d’aides promis dès 2020 aux pays les plus pauvres pour le climat.

Dac. On propose quoi ?
La France propose de taxer le transport maritime mondial. Plusieurs chefs d’États et de gouvs veulent, eux, alléger la dette de certains pays. La Barbade propose de suspendre les remboursements de prêts d'un pays pendant 2 ans s’il est victime d’une catastrophe climatique.

Ça changerait vraiment quelque chose ?
Yep, car 93 % des pays les plus vulnérables aux catastrophes climatiques sont surendettés ou risquent de l’être. Or, cette dette les empêchent de financer leur transition écologique en les privant de moyens clés.

Et pour la suite ?
Le sommet doit permettre d’établir une feuille de route pour orienter les discussions notamment lors de la COP 28, la conf de l’ONU sur le climat à Dubaï début décembre. Certains s’inquiètent du manque d’actions concrètes, d’autres estiment que ça crée une dynamique.