Ce qu'il se passe.
Des militants écologistes multiplient les actions.
Rembobine Karine, j'ai entendu ça.
Depuis quelques mois, de plus en plus de défenseurs du climat jettent de la soupe, de la purée, de la farine ou collent leurs mains sur des chefs-d’œuvre un peu partout dans le monde. Les Tournesols de Van Gogh, Les Meules de Claude Monet ou encore Massacre en Corée de Picasso font partie des tableaux visés, restés sains et saufs car protégés par une vitre.
Qui sont ces militants ?
Des activistes de plusieurs ONG environnementales comme Just Stop Oil au UK, Letzte Generation en Allemagne, Ultima Generazione en Italie, Dernière rénovation ou ANV-COP21 en France, ou encore le mouvement international Extinction Rebellion.
C'est quoi leurs demandes ?
Globalement, ils demandent des mesures politiques pour lutter contre le réchauffement climatique, et espèrent que leurs actions pousseront les gouvs et les entreprises les plus polluantes à agir pour préserver le climat. Cette année, pour l’ONU, on se dirige vers + 2,5° C de réchauffement d’ici 2100, bien loin de l’objectif des 1,5° C par rapport à l’ère préindustrielle encore réaffirmé à la COP 27 la semaine dernière.
C'est quoi le rapport avec les œuvres d'art ?
Le vandalisme sur des œuvres d’art est une pratique ancienne. Certaines ont été abîmées dans le passé, mais ce n’est pas le cas aujourd’hui. Pour nombre d'observateurs, les militants ne cherchent pas à détruire ces œuvres ultra connues et protégées, mais à avoir un max de retentissement. D’ailleurs, les tableaux ciblés sont surtout ceux qui représentent des paysages de nature, des rivières ou des fleurs, comme pour faire comprendre qu’ils disparaîtront si rien n’est fait.
Qui en pense quoi ?
Les réactions sont contrastées. Certains estiment que c’est irrespectueux et inutile, car malgré l’impact médiatique, les militants risquent de se mettre une partie du public à dos, plutôt que de vraiment changer les esprits. À l’inverse, d’autres pensent qu’on devrait écouter le message derrière ces actes audacieux, qui mettent les questions écologiques au centre du débat et des écrans.
Ce qu'il se passe.
Des militants écologistes multiplient les actions.
Rembobine Karine, j'ai entendu ça.
Depuis quelques mois, de plus en plus de défenseurs du climat jettent de la soupe, de la purée, de la farine ou collent leurs mains sur des chefs-d’œuvre un peu partout dans le monde. Les Tournesols de Van Gogh, Les Meules de Claude Monet ou encore Massacre en Corée de Picasso font partie des tableaux visés, restés sains et saufs car protégés par une vitre.
Qui sont ces militants ?
Des activistes de plusieurs ONG environnementales comme Just Stop Oil au UK, Letzte Generation en Allemagne, Ultima Generazione en Italie, Dernière rénovation ou ANV-COP21 en France, ou encore le mouvement international Extinction Rebellion.
C'est quoi leurs demandes ?
Globalement, ils demandent des mesures politiques pour lutter contre le réchauffement climatique, et espèrent que leurs actions pousseront les gouvs et les entreprises les plus polluantes à agir pour préserver le climat. Cette année, pour l’ONU, on se dirige vers + 2,5° C de réchauffement d’ici 2100, bien loin de l’objectif des 1,5° C par rapport à l’ère préindustrielle encore réaffirmé à la COP 27 la semaine dernière.
C'est quoi le rapport avec les œuvres d'art ?
Le vandalisme sur des œuvres d’art est une pratique ancienne. Certaines ont été abîmées dans le passé, mais ce n’est pas le cas aujourd’hui. Pour nombre d'observateurs, les militants ne cherchent pas à détruire ces œuvres ultra connues et protégées, mais à avoir un max de retentissement. D’ailleurs, les tableaux ciblés sont surtout ceux qui représentent des paysages de nature, des rivières ou des fleurs, comme pour faire comprendre qu’ils disparaîtront si rien n’est fait.
Qui en pense quoi ?
Les réactions sont contrastées. Certains estiment que c’est irrespectueux et inutile, car malgré l’impact médiatique, les militants risquent de se mettre une partie du public à dos, plutôt que de vraiment changer les esprits. À l’inverse, d’autres pensent qu’on devrait écouter le message derrière ces actes audacieux, qui mettent les questions écologiques au centre du débat et des écrans.